Bangkok/Pékin: -40°C en 4 heures
Le ciel est bleu, très bleu, mais il est difficile de s’en rendre compte tellement la couche de pollution est épaisse. Si épaisse qu’elle ferait passer Bangkok pour une réserve naturelle. Il n’y a qu’à observer la ville pour s’en rendre compte : 5 périphériques...